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Les noctambules, particulièrement sujets aux cauchemars

Une équipe de chercheurs de l'université turque de Yuzuncu Yil (Van) a publié le 25 août dans la revue Sleep and Biological Rhythms, les résultats d'une étude consacrée au lien entre la vie nocturne et l'abondance de cauchemars.

Près de 80% des adultes ferait l'expérience d'un cauchemar au moins une fois par an.

Mais selon l'étude turque, les personnes veillant tard seraient particulièrement sujettes aux mauvais rêves pendant leur sommeil.

A l'occasion d'une expérience destinée à décortiquer leurs cycles de sommeil, 264 étudiants ont accepté d'évaluer l'intensité de leurs rêves, grâce à une échelle d'anxiété, appelée Van Dream Anxiety Scale.

Les experts parlent d'un lien possible entre sommeil agité et cortisol, l'hormone du stress.

En temps normal, l'activité de cette hormone connaît un pic au moment du réveil. Si le cycle de sommeil est perturbé, le sujet peut se trouver endormi au moment de l'élévation du taux de cortisol, ce qui peut provoquer cette multiplication d'étranges rêves agités et saisissants de vérité.

C'est également ce que rappelle Jessica Payne de l'université de Notre Dame aux Etats-Unis -- elle n'a pas participé à l'étude turque -- dans une interview réalisée pour LiveScience.

Le site WebMD recommande de lutter contre le stress, facteur majeur de prolifération de cauchemars, en effectuant des exercices de respiration, en pratiquant le yoga et la méditation.

©DNF-Style Photography/shutterstock.com
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